LES FRALIBS POURSUIVENT LEUR LUTTE AVEC DETERMINATION
Le juge départiteur du conseil des prud’hommes de MARSEILLE, statuant en référé a rendu ce jour sa décision dans l’affaire des douze salariés protégés, à qui la direction a retenu injustement les salaires de mai à septembre 2012. UNILEVER nous considérait en grève, alors qu’aucune activité n’avait repris sur notre site depuis juillet 2011.
Il a renvoyé les parties au fond, estimant qu’il ne pouvait pas statuer en référé.
Les salariés concernés déposeront dès aujourd’hui des demandes au fond, ils le feront forts de l’Arrêt rendu par la cour d’Appel d’Aix en Provence le 28 février au terme du quel elle a constaté que la Société FRALIB et le Groupe UNILEVER n’a en faite jamais repris la moindre activité sur le site depuis juillet 2011.
La cour a ainsi rejeté l’argument fallacieux de la Société FRALIB et du Groupe UNILEVER selon lequel les salariés concernés étaient en grève ou n’avaient pas éxécuté leur contrat de travail..
Par ailleurs, après notre envoi à l’ensemble des députés et sénateurs de gauche, de notre projet alternatif et de notre appel à s’engager à nos côtés dans ce combat pour l’emploi et le développement industriel, nous continuons à recevoir des soutiens.
Dans ce cadre, nous vous joignons les courriers du Député PC du Nord Alain BOCQUET, de la Députée PS de l'Isère Marie-Noëlle BATTISTEL, du Député PRG de l'Allier Gérard CHARASSE du Député Divers Gauche de Martinique Bruno-Nestor AZERO et du Sénateur PS de Seine Saint Denis Gilbert ROGER
Encore et toujours :
continuons le Boycott de LIPTON !
ET DE TOUTES LES MARQUES DU GROUPE UNILEVER !!!
NOUS NE LAISSERONS PAS PARTIR LE THE DE L’ELEPHANT DE PROVENCE
Le thé de l’Eléphant est né il y a 120 ans à MARSEILLE,
L’Eléphant est Français, en Provence il doit rester.