Hier au tribunal correctionnel de Nanterre, le juge a renvoyé l’affaire au 6 septembre à 13h30 et a demandé à Unilever de verser une consignation de 1500 € avant le 28 février.
Des salariés ayant subi les Plans sociaux du Havre et de Dissay étaient venus, prêts à témoigner des désastres causés par Unilever avec les fermetures des sites.
Notre direction fédérale de la FNAF CGT était aussi présente pour nous soutenir ainsi que le délégué syndical du siège.
En parallèle, l’initiative à Marseille a eu lieu et a abouti à un entretien avec le procureur qui, après 1 h 00 d’entretien, a dit qu’il allait tenir informée notre camarade ayant subi la violence physique du PDG de Fralib Il va aussi se rapprocher de la direction départementale du travail au sujet d’un accident du travail où la responsabilité de l’employeur est engagé , à notre connaissance, un procès verbal a été dressé et transmis et dont il ne retrouve pas trace. Affaire à suivre.
PLUS QUE JAMAIS, N’OUBLIEZ PAS LE BOYCOTT DE LIPTON
NOUS SOMMES DÉTERMINÉS
NOUS ALLONS CONTINUER À LUTTER
POUR LE MAINTIEN DE NOTRE SITE ET DE SON ACTIVITÉ INDUSTRIELLE.
ON NE LAISSERA PAS PARTIR LE THE DE L’ELEPHANT DE PROVENCE.
Hasta la victoria siempre !